Services
Chiens et chats
Tout comme nous, les animaux domestiques sont sujets aux douleurs de dos et autres maux. C’est d’autant plus vrai chez les chiens de travail chez qui les contraintes articulaires sont élevées. Il est alors important d’apporter un suivi ostéopathique régulier à nos compagnons à 4 pattes pour leur apporter confort et bien-être !
Équins
À l’état naturel, le cheval passe sa journée à marcher et à manger. Utilisé de nos jours pour le sport et le loisir, il est important de lui apporter un suivi ostéopathique afin de gérer au mieux les conséquences de la vie en captivité, du poids du cavalier, et des contraintes importantes du sport et de l’équipement.
Bovins
Chez les animaux de rentes, qu’ils soient laitiers ou à viande, l’ostéopathe peut intervenir premièrement afin d’apporter du confort à l’animal, et dans un second plan pour améliorer la rentabilité : un blocage lombaire peut entrainer une perte au niveau de la lactation (par innervation), et la restriction de mobilité d’une articulation peut entrainer une atrophie musculaire et donc une perte de volume musculaire (viande).
NAC
Nouveaux dans nos foyers, les NAC sont logés à la même enseigne que les chiens et les chats et peuvent bénéficier de soins ostéopathiques.
F.A.Q.
Retrouvez ici les réponses aux questions les plus récurrentes
Il n’y a pas de norme. Une fois par an c’est le minimum, ensuite, on adapte en fonction du cas.
J’aime partir du principe que le propriétaire est la personne qui connaît le mieux son animal et sait quand celui-ci a besoin d’une séance. Changement de comportement, douleur, boiterie, démarche inhabituelle, sont des exemples de signes que l’animal a besoin d’être ausculté par un ostéopathe.
Un animal de sport sera suivi plus souvent, une fois par trimestre en moyenne, jusqu’à une fois par mois pour du sport de haut niveau avec une recherche de performance.
Un animal présentant une pathologie spécifique sera suivi plus souvent également, par exemple pour une dysplasie de hanche chez le chien, de l’arthrose, un chevauchement des apophyses épineuses chez le cheval, la liste est longue… dans le cas d’une pathologie on adaptera le suivi au cas par cas.
Le mieux est de discuter avec votre ostéopathe pour définir la fréquence nécessaire des séances.
Vous vous en doutez, la réponse est oui ! On considère que le corps met environ 48 heures pour accepter les corrections apportées par l’ostéopathe. Il est alors important de laisser à l’animal le repos nécessaire afin que le bénéfice de la séance soit optimal.
L’ostéopathe prescrira à la fin de la consultation des conseils pour la reprise de l’activité : temps de repos, exercices éventuels, que faire et ne pas faire dans les jours qui viennent, etc. Il est important de respecter au mieux ces conseils car ils conditionneront le bon rétablissement de votre animal !
Il est possible que votre animal ait un comportement un peu différent après une séance d’ostéopathie.
En effet, l’ostéopathie est basée sur 5 grands principes, l’un d’eux étant « le principe d’auto-guérison », l’ostéopathe va travailler sur le corps de l’animal afin de lui redonner toute sa mobilité et de lui apporter du confort, mais c’est l’organisme lui-même qui finira le travail dans les heures qui suivent la séance.
L’animal sera sans doute fatigué après la séance. Il peut présenter dans les jours qui suivent des irrégularités dans sa démarche et ses allures, ou dans le cas d’un problème digestif avec un travail viscéral une augmentation des symptômes dans les 2 jours suivant les manipulations, pas d’inquiétude tout ceci est normal et rentrera dans l’ordre en 2 à 3 jours. Si vous avez un doute ou des questions à la suite d’une consultation, n’hésitez pas à me contacter j’y répondrai avec plaisir !
Non, comme on dit souvent « mieux vaut prévenir que guérir », en effet dans le cas d’une blessure (chute, coup, etc) on ne pourra pas intervenir avant la douleur et on agira alors en curatif pour soigner la blessure. Cependant, dans le cadre d’un suivi, il vaut mieux installer une sorte de routine avec un suivi de fond pour maintenir l’animal plutôt que d’attendre les symptômes. On sera bien plus efficace sur un traitement de fond au long terme que si on attend que la douleur et les compensations s’installent.
Dans le cas d’un animal sur lequel on a laissé s’installer la douleur, souvent il faudra plusieurs séances rapprochées pour retrouver un état de bien-être complet.
Par exemple : votre chien à une dysplasie de la hanche et est suivi en ostéopathie tous les 3 mois environ. Vous voyez que si vous attendez plus longtemps pour le faire voir à l’ostéopathe il se remet à boiter. Dans ce cas, mieux vaut maintenir une séance tous les 3 mois et anticiper le moment où la douleur revient. Le suivi de l’animal est optimisé et on lui évite des douleurs. Bien sûr, au debut il faut tâtonner pour apprendre à savoir quel est le bon rythme, ensuite on peut installer une routine et optimiser le traitement !
Il va de même pour toutes les pathologies, pour les animaux de sport, et pour tous les autres animaux.
Si vous hésitez quant à la fréquence des consultations, n’hésitez pas à demander conseil à votre ostéopathe !
NB : dans le cadre d’une chirurgie (outre chirurgie de convenance tel qu’une stérilisation), on peut voir l’animal avant pour préparer au mieux le corps, et après pour l’aider à se remettre de l’intervention. Pensez-y !